Le train, de son allure vive et constante
Déchire l’air et fend le paysage.
Rien n’arrêtera cette rame puissante
Qui colonisera avec bruit et rage.

Ce monstre de fer m’emporte bien malgré moi
Loin de toi, ô tendre et divine complice.
J’aurais vraiment préféré un tout autre choix,
Que je sois là pour toi, que je te chérisse.